Le printemps, l'ennui, le retour de l'ennui, la
Le printemps, l'ennui, le retour de l'ennui, la systématique cohérence de l'individu entérinant son identité névrotique par la répétition des mêmes cycles à échelles d'heures journées mois années
J'ai beau dire, j'ai beau chier, je m'emmerde foutrement dans nos sociétés de cons, dirigées par des glands, pour mener des trous du cul il faut bien des têtes de bite finit-on par conclure. J'ai la tentation de la magie noire ou le réseau occulte (qui souventes fois oeuvrent de pair), mais ne rêvons pas, n'ayant ni compétences ni volonté, quelque peu difficile soit l'acquisition de l'une ou des autres, à peine dix heures d'efforts quotidiens. Une paille, en comparaison des gains.
Las, je préfère rouiller sur meetic et msn. Ah qu'est donc triste l'époque.
Pourquoi je recommence à bloguer? j'ai même pas de drogue pour aller avec.